2003 : Brown Bunny, de Vincent Gallo. Cette fois ci, ce n’est pas tant le public que la presse qui épingle Vincent Gallo, pour ce qu’elle qualifie d’un ego-trip morne et ridicule, par et avec l’acteur, qui finit par une longue fellation en plan-séquence. Lors d’une conférence de presse, le réalisateur entame un ping.